DIPLOMATIE - Il s'agit ici de réfléchir aux moyens de transformer la partialité onusienne en une occasion et une raison pour le Maroc de changer radicalement de cap et de remettre en cause le principe de référendum et la présence de la MINURSO, même s'il les a acceptés depuis la récupération de ses provinces sahariennes.
ECONOMIE - Le roi Mohammed VI effectuera une visite officielle en Chine les 11 et 12 mai prochains où seront signés d'importantes conventions entre les deux pays. Il est prévu également de parapher un traité de libre-échange entre le royaume et la république de Chine (selon l'Agence Chine Nouvelle Xinhua). Quelques heures après la diffusion de l'information, les débats sur les conséquences possibles sur l'industrie marocaine ont commencé. Certains estiment que l'accord de libre-échange, s'il est conclu, aura des conséquences calamiteuses pour le Maroc et les acteurs économiques du pays.
RAFFINERIE - Le 21 mars 2016, le Tribunal de Commerce de Casablanca a annoncé la mise en liquidation judiciaire de la Samir, seule et unique raffinerie du pays, avec en perspective, si rien ne change, des conséquences socio-économiques négatives non négligeables (créances perdues pour les banques, chômage, précarité, et tensions sociales).
ÉCONOMIE - La moitié de la population mondiale vit en Asie. N'est-ce pas une excellente raison pour que les entreprises marocaines s'intéressent à cette partie du monde? Cependant, l'Asie n'est pas seulement la Chine ou l'Inde. Mais aussi la Thaïlande, la Malaisie, les Philippines et d'autres pays... qui constituent l'Association des Nations de l'Asie du Sud-est. L'ASEAN semble pourtant, au sein de l'Asie, un domaine inexploré et inconnu de nombreuses entreprises.
MIGRATIONS - L'accord conclu entre l'Union européenne et la Turquie relatif au renvoi des migrants jette les germes fondateurs d'une nouvelle génération des accords de réadmission. Ces derniers ont été, jusqu'à présent, considérés comme un dispositif de lutte contre l'immigration clandestine ayant pour objet principal de faciliter la réalisation des opérations de retours forcés des migrants "économiques" séjournant clandestinement sur le territoire européen.
Je suis ravie d'annoncer qu'après s'être porté acquéreur de RYOT, société de réalité virtuelle et interactive, le HuffPost crée aujourd'hui HuffPost RYOT. Ensemble, nous vous proposerons une gamme entièrement nouvelle de contenus, qu'il s'agisse de réalité virtuelle, de longs-métrages ou de vidéos 360°.
ÉNERGIE - "Une économie qui entraîne une amélioration du bien-être humain et de lʼéquité sociale tout en réduisant de manière significative les risques environnementaux et la pénurie de ressources. Sous sa forme la plus simple, elle se caractérise par un faible taux dʼémission de carbone, lʼutilisation rationnelle des ressources et lʼinclusion sociale". Le Maroc a opté pour une stratégie de développement basée sur cette définition de l'économie verte, celle des Nations Unies.
HISTOIRE - C'est à l'initiative d'un ami d'adolescence, un journaliste venu en Corse pour couvrir les tristes événements qui meurtrirent la communauté marocaine en particulier et maghrébine en général, en cet été 1982, que nous décidâmes lui et moi, non sans beaucoup d'audace étant donné les circonstances, de sortir de notre prison psychologique imposée par l'instinct de prudence, et d'aller nous détendre sur l'esplanade du port de Bastia. Histoire de mettre entre parenthèses les événements qui pesaient sur les esprits.
POLÉMIQUE - Le 1er avril dernier, l'équipe du "Petit Journal", émission française d'infotainment diffusée sur Canal +, part au Maroc pour enquêter. À sa tête, Martin Weill. Le "Monsieur International" de Canal +, qui a sillonné le monde, analysé les guerres, les conflits, les mouvements sociaux, crises économiques aux Etats-Unis, en Ukraine, en Chine, au Canada, en Égypte et au Pérou (et j'en passe!) se rend donc pour le Maroc afin de mener à bien sa mission de reporter.
HISTOIRE - "Arabi Fora", voici une formule lapidaire que je ne suis pas près d'oublier, trente-trois ans après l'avoir lue pour la première fois. L'entendre, la relire dans les différents supports des médias rembobine ma vie et me resitue en août 1982.
TERRORISME - Après les attentats meurtriers de Paris et de Bruxelles, force est de reconnaître que le terrorisme exporté par Daech constitue désormais une menace universelle persistante, qui ne connaît ni frontières, ni nationalités, ni religions, face à laquelle la communauté internationale est appelée à être unie pour faire face à une même réalité.
DIPLOMATIE - Les propos outrageux tenus par Ban Ki-moon lors de sa visite à Tindouf et à Alger en début du mois constitue un dérapage sans précédant dans les rapports de l'ONU avec le dossier du Sahara. Ces derniers sont d'autant plus indignes venant de celui qui devrait incarner la fonction du premier diplomate de la communauté internationale. Or, Ban Ki-moon a bafoué le principe fondamental d'impartialité imposé par sa mission, portant ainsi atteinte à sa propre crédibilité et à l'organisation qu'il représente, dont la neutralité constitue la clé de voûte de sa charte.
TERRORISME - Après les bilans tragiques de Paris, avec les 17 victimes tuées en janvier et les 130 du 13 novembre, et maintenant les attentats de Bruxelles, la tentation est forte, voire irrésistible, de partir du principe que nous avons désormais affaire à une véritable "armée de l'ombre", voire à une armée tout court.
DIPLOMATIE - Dans un communiqué publié par l'ONU, Ban Ki-moon a exprimé son "incompréhension" et sa "déception" de la manifestation qui l'a ciblé personnellement à Rabat ce dimanche 13 mars. Cette réaction est la dernière d'un dossier qui devient explosif depuis le 9 mars dernier: celui du Sahara. Marquera-t-elle un tournant dans les relations du Maroc avec l'ONU?
DIPLOMATIE - Alors qu'une grande manifestation a eu lieu à Rabat dimanche dernier contre les propos tenus par le Secrétaire Général de l'ONU, ce dernier s'est exprimé à ce sujet à travers un communiqué publié sur le site de l'ONU.
INTERNATIONAL - La Syrie est, indéniablement, l'"homme malade" des temps modernes, qui n'hésite pas à contaminer ses voisins. La Turquie n'est pas une exception. Le temps de l'hégémonie régionale turque, tel qu'observé il y a tout juste cinq ans alors que les pays arabes plongeaient dans une vague d'instabilité politique, est révolu.